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Made a correction... :lol:

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L'esprit Bugatti en 1998 que l'on a voulu faire renaitre, c'est aussi cet art de vivre . Cela paraissait impossible comme les performances de la nouvelle Bugatti, la Veyron.
Les gens de Bugatti sont aujourd'hui de vrais passionnés de leur produit mais pourquoi devraient-ils aussi rester austères et se concentrer sur l'automobile ?
Comme à l'époque d'Ettore, ils cherchent aussi à exceller dans d'autres domaines.

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Ce qui a été déjà inventé appartient au passé, seules les innovations sont dignes d'intérêt - Ettore Bugatti


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Comprendre l'Esprit Bugatti - Bugatti – Mythe et Légende


Un petit texte assez complet sur la famille :


Les membres de la famille Bugatti offrent un concentré de talents artistiques et de dons techniques sans égal en Europe, à leur époque.


Carlo, le père, ébéniste exubérant. Rembrandt, le fils cadet, sculpteur d'une faune en mouvement. Et Ettore, dit Bugatti, mécanicien de génie. La fibre créatrice se transmet-elle par les gènes? La famille Bugatti en est l'illustration aussi fameuse que rarissime. Premier de la dynastie: Carlo le Milanais, surnommé le «nouveau Léonard». Un brillant touche-à-tout, Carlo. Architecture, peinture, orfèvrerie, tout l'attirait. Mais c'est à l'ébénisterie qu'il dut sa renommée, de l'Italie à la France et à l'Angleterre. Son fils cadet, Rembrandt, emprunta lui aussi le chemin des honneurs. On avait ainsi prénommé le bambin pour «encourager le sort». Heureux présage. Il devint l'un des grands sculpteurs animaliers modernes. Un prodige élevé, à 25 ans, au rang de chevalier de la Légion d'honneur. C'est pourtant au nom d'Ettore, le fils aîné, que demeure attaché le mythe Bugatti. Il s'imaginait artiste comme papa. Et se révéla constructeur automobile de haut vol. Au point que sa gloire, forgée à l'ombre des têtes couronnées, longtemps éclipsa la célébrité de la famille...
Carlo et les meubles.
Et quels meubles! Des paravents, des chaises, des sellettes, des guéridons, des banquettes, des tabourets gainés de parchemin ou de peau de chameau, ornés de cuivre repoussé, incrustés de métal, d'os, de nacre et de miroirs. Tellement exubérants qu'on les croirait tirés d'un fantasme des «Mille et Une Nuits». Nul autre créateur que Carlo n'osa une telle débauche de matières. Sans doute l'esthète, qui ne passa jamais les frontières de l'Europe, céda-t-il à la fascination orientalisante de ses contemporains. Supposition. Cette étiquette, il la rejetait. A la reine d'Italie, qui admirait son «style mauresque», il assura: «Vous vous trompez, Majesté, ce style est le mien...»
C'est dans l'élégante société milanaise, entre princes et musiciens, que grandit Rembrandt. Gamin, il se rêvait ingénieur ou pilote de locomotive. Jusqu'à ce que Carlo découvre, dissimulé dans son atelier, un curieux modelage: trois vaches guidées par un paysan, façonnées dans la terre. C'était la première sculpture de Rembrandt. Il en réalisera quelque 500, entre sensibilité et stylisation, que d'aucuns qualifièrent de cubistes. A l'image des bronzes : une véritable faune en mouvement, comme dans une arche de Noé, composée d'un rhinocéros de Java, d'une grue de paradis, d'une antilope koudou, de bisons d'Amérique, de loups d'Egypte ... Nous voici loin de l'académique Barye et du doucereux Pompon. Et pour cause. Ses modèles, Rembrandt le solitaire passa des journées à les croquer, d'abord au Jardin des Plantes, puis au zoo d'Anvers. «Sois rosse avec les hommes, écrit-il un jour à son frère, gentil avec ta femme, Dieu pour tes enfants, et bon avec les animaux...»
Ce conseil, Ettore n'en avait cure. Une chose lui importait: mériter de «porter le nom» de son père. Raison pour laquelle il apprit la peinture et l'architecture, avant de suivre sa propre voie, la mécanique, conscient de la supériorité de son cadet. Ainsi l'autre surdoué de la famille fit-il ses armes en construisant des tricycles, puis des automobiles chez le baron de Dietrich. En 1909, le voici fin prêt pour créer sa propre usine, à Molsheim, en Alsace encore allemande. C'est là que, toujours élégant, coiffé de son chapeau melon, rejoint plus tard par son fils Jean, le «patron» mit au point ses «pur-sang», comme il appelait ses bolides. De petits chefs- d'œuvre de précision et d'esthétique, à l'adresse des grands de ce monde.. Quelques modèles firent rêver: la type 51, qui atteignait 240 kilomètres à l'heure et trusta les victoires au début des années 30, mais surtout la Royale, fabriquée en 6 exemplaires, avec une calandre surmontée d'un éléphant cabré - une sculpture de Rembrandt. Aucun roi ne l'acheta. Malgré ses espoirs, Ettore ne put jamais la vendre à Alphonse XIII. Mais que les fanatiques se rassurent! Des quelque 8 000 bolides fignolés durant ces quarante années, il reste aujourd'hui 2 000 exemplaires dispersés de par le monde, dont 150 au musée de l'Automobile, à Mulhouse...
Les plus belles histoires connaissent parfois des fins tragiques. Durant la guerre de 1914, Rembrandt découvre le zoo d'Anvers dévasté. Il rentre alors à Paris et, dans son atelier de Montparnasse, se suicide au gaz: c'était en 1916, il avait 31 ans. Après avoir connu la gloire, Ettore subit de plein fouet la crise de 1929. Pour renflouer son entreprise, il fabriqua des autorails pour les chemins de fer français. En vain. Sous le Front populaire, l'entreprise continua de péricliter et le capitaine d'industrie ne comprit pas les revendications de ses ouvriers. Il en conserva de l'amertume et laissa la place à Jean. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands confisquèrent même l'usine. Lorsque la République française la restituera, en 1947, Ettore est trop malade pour se réjouir de la nouvelle. Qu'importait, de toute manière? Entre-temps, Jean avait disparu. Son père l'empêchait d'être pilote. Il se consolait en effectuant les essais de prototypes et de voitures de course. Le 11 août 1939, il peaufine les réglages d'un tank 57 G. Un cycliste lui barre la route. Pour l'éviter, il percute un platane. Il avait 30 ans. Grandeur et désespoir. Ainsi se forgent les légendes.
Cependant et contrairement à d’innombrables concurrents de l’époque, la marque ne tombera jamais dans l’oubli. Le mythe Bugatti et l’influence d’Ettore Bugatti restent présents, même aujourd’hui.

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PostPosted: Sat Dec 06, 2008 6:01 pm 
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Joined: Fri Nov 28, 2008 11:58 am
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J'ai l'impression que certains essaient de construire une légende autour d'Ettore... L'artiste génial bon pére de famille et "patron" patriarcal adoré de ses ouvriers.... Mais Ettore ce n'est pas ça, désolé, pas besoin d'être un expert patenté pour se rendre compte que la nous sommes dans l'image d'Epinal..... Ettore c'est un homme avec ses faiblesses et ses qualités, et je ne voudrais pas faire un réquisitoire à charge car j'ai réellement beaucoup d'admiration pour lui, mais Ettore c'est aussi : Un artiste raté qui le réalise lui même trés vite aprés des études artistiques. C'est un copieur (Miller, les roues, les 2 arbres à came). C'est l'obstination sur des solutions dépassées (Essieu avant rigide, certains diront qu'il a toujours construit la même voiture). Quelqu'un dont les ouvriers l'ont laissé tomber (1936). Quelqu'un qui eu sur le tard une jeune maitresse, et avec qui il a eu des enfants hors mariage (Barbara n'étant pas décédée semble -t-il ??). Quelqu'un qui a peut être perdu temporérement son usine (dont il se désintéressait à l'époque), mais qui avait quand même reçu 150 Millions, et qui a attendu la fin de la guerre au chateau d'Ermenonville.... Mais Ettore c'est aussi la 35 et pour ça, on peut tout lui pardonner !!! Et je le répéte j'ai beaucoup d'admiration pour lui, mais cela ne veut pas dire être aveugle...


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PostPosted: Sat Dec 06, 2008 6:12 pm 
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Personne n'a dit qu'il fallait rester aveugle.
Mais l'histoire retient la légende, le mythe. Et cela me semble avoir pour origine une famille un peu particulière.
C'est en partant de ces a priori qu'a été reconstitué le nouveau mythe.

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 Post subject: les alemands sont confisque l'usine
PostPosted: Sat Dec 06, 2008 10:36 pm 
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Je pense pas mon ami.Ettore Bugatti etait Italien soit allies avec les boche.Son usine etait achete par les Alemands.Lui meme personellement etait certainement contre guerre et tous probablement contre les Alemands.Mais il n'avez aucune choix et il a partie a Paris avec les monies.C'est presque certain que il a assiste les Resistants a Paris [ Williams et Benoist ] A partir de ce moment l'usine Bugatti etait a Rue Debarquedare,Paris ou il a constuite mes deux voitures.T73 et T73c.C'est tres bon que apres guerre il a recuperer l'usine apres une process Legal,et le monnaie Alemand? well done Ettore :D :D :D


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PostPosted: Sun Dec 07, 2008 6:18 am 
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Complètement faux. De source locale, sûr et certain, Ettore n'a jamais collaboré avec les "boches". Il s'est réfugié en France et a été contraint de céder son usine.
L'explication : c'est sur le terrain de la compétition automobile qu'il faut la chercher. Il a toujours eu beaucoup de mal à accepter que les "allemands" puissent lui ravir les victoires avant la guerre avec leurs bolides.
Ce qui n'empêchait pas Ettore d'entretenir des liens amicaux et personnels avec certains ingénieurs allemands de l'époque dont un certain Ferdinand Porsche dont le petit fils rachètera en 1998 les droits de La Marque.

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PostPosted: Mon Dec 08, 2008 8:42 am 
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Info de source locale :

Confidentiel

Une statue d'Ettore grandeur nature (en bronze) sera bien érigé en septembre 2009 à Molsheim dans le cadre du centenaire . Des appels d'offre seront lancés début janvier - via la Ville de Molsheim .
De nombreux autres projets sont à l'étude, y compris un circuit dans la Ville pour les anciennes.

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 Post subject: Ettore et les boche
PostPosted: Mon Dec 08, 2008 7:22 pm 
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Mon cher ami Pur sang,c'est vraiment domage que je ne parle pas parfaitement le Francais.J'espair que tu etait le seule qui a mal compris!! J'ai JAMAIS DIS QUE ETTORE A COLLABORER avec les alemands.J'ai dis que il etait Italien et les alemands sont achete l'usine.Il n'avez pas de choix.De toutes facon apres le greve,et le morte de Jean,il n'avais pas envie de rester a Molsheim.


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PostPosted: Mon Dec 08, 2008 8:40 pm 
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Dans ce cas, mille excuses pour l'interprêtation erronnée.

Contrairement aux nombreux ouvrages sur les voitures Bugatti, il n'existe pas ou peu d'études sur la vie d'Ettore, de la famille et de son environnement.

Comprendre ce qui était spécial à l'époque est certainement ce qui permet d'éclairer, mais n'explique pas tout le mythe et la légende.

En 1998, on a pas seulement voulu recréer des voitures ( ça c'est de l'industrie et du marketing ) mais aussi un certain état d'esprit.

On sait que le repreuneur de Bugatti ( Ferdinand Piech ) était très proche de son grand père Ferdinand Porsche et que ce dernier lui parlait avec beaucoup de passion de ses contacts et de l'esprit d'un certain Ettore Bugatti.

Et c'est ce qui m'a frappé : la reprise de Bugatti en 1998 s'était faite par passion et non par simple calcul !

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 Post subject: 7.5 Million Reichmarks
PostPosted: Mon Dec 08, 2008 10:17 pm 
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Joined: Tue Nov 04, 2008 5:07 pm
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Ettore a recu 7.5 million reichmarks pour son usine.C'est maron que ma Type 73 et Type 73c etait payer par Adolf Hitler :D :D :D


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PostPosted: Tue Dec 09, 2008 7:11 am 
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Bugatti a été dédommagé par les allemands parce qu'ils voulaient récupérer l'image de l'entreprise. Bugatti n'a jamais voulu participer ( en tant qu'italien dont il avait encore la nationalité ) à l'effort de guerre allemand. Sa passion et ses sentiments allaient à la France - c'est d'ailleurs pour cela qu'il a été décoré de l'ordre de la Légion d'Honneur française - Il est même devenu Officier de ce même ordre après la guerre.
Ettore était un homme de passion.
Il faut arrêter de fantasmer sur des liens supposés pendant la guerre. Les voitures ont toujours été françaises.

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PostPosted: Fri Dec 12, 2008 8:49 am 
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Plusieurs rumeurs courent sur la fin de la commercialisation des Veyron.

Le carnet de commande serait désormais rempli et Bugatti travaillerait à guichet fermé pour la Veyron standard.
( Sang Noir et Hermès inclus)
Ce qui signifie que la Veyron ne devrait pas tarder à voir bientôt ses prix en occasion s'envoler !

Reste la version Grand Sport dont il reste encore des possibiltés.

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PostPosted: Mon Dec 29, 2008 10:44 am 
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Joined: Tue Dec 12, 2006 10:58 am
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Pur Sang wrote:
Complètement faux. De source locale, sûr et certain, Ettore n'a jamais collaboré avec les "boches". Il s'est réfugié en France et a été contraint de céder son usine.
L'explication : c'est sur le terrain de la compétition automobile qu'il faut la chercher. Il a toujours eu beaucoup de mal à accepter que les "allemands" puissent lui ravir les victoires avant la guerre avec leurs bolides. ???
Ce qui n'empêchait pas Ettore d'entretenir des liens amicaux et personnels avec certains ingénieurs allemands de l'époque dont un certain Ferdinand Porsche dont le petit fils rachètera en 1998 les droits de La Marque.


Dès 1935, E.B. cherche d'autres terrains pour s'engager en compétition. Il n'y a qu'à examiner les engagements de l'USINE en course : peu de courses dans les Grands Prix internationaux, plus de de participations ailleurs, jusqu'en Afrique du Sud et aux USA - Coupe Vanderbilt, sans les concurrents allemands…
E.Bugatti s'engage à fond dans les GP mis en place par les Français, engageant des voitures issues de celles de tourisme (57G et consœurs)
Il vaut mieux d'abord examiner les faits avant de tirer des conclusions (hâtives).


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PostPosted: Mon Dec 29, 2008 11:00 am 
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Joined: Tue Dec 12, 2006 10:58 am
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Pur Sang wrote:
Bugatti a été dédommagé par les allemands parce qu'ils voulaient récupérer l'image de l'entreprise. Bugatti n'a jamais voulu participer ( en tant qu'italien dont il avait encore la nationalité ) à l'effort de guerre allemand. Sa passion et ses sentiments allaient à la France - c'est d'ailleurs pour cela qu'il a été décoré de l'ordre de la Légion d'Honneur française - Il est même devenu Officier de ce même ordre après la guerre.
Ettore était un homme de passion.
Il faut arrêter de fantasmer sur des liens supposés pendant la guerre. Les voitures ont toujours été françaises.


A bon ?
Vu ailleurs : http://www.bugattibuilder.com/forum/vie ... =6554#6554

Ettore a bien été accusé de collaboration et c'est cette raison qui a poussé l'état français de l'époque a confisquer son usine après la guerre.
Pour récupérer son usine il avait du faire des démarches - le procès de Colmar - pour finir d'être blanchi.
Pour la résistance, c'est une bonne question dont je ne connais pas la réponse.

Deux réponses en contradiction…

:cry:


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